Le 28 septembre dernier fut un moment exceptionnel pour Cearitis qui, installé au cœur du Technopôle de l’environnement de l’Arbois à Aix-en-Provence, a célébré l’inauguration de son projet de l’année 2023 : le verger vitrine.

Un lieu d’expérimentation allant au-delà de l’aspect arboricole, se présentant comme un démonstrateur miniature, une incarnation concrète de leurs valeurs et engagements : durabilité, éthique et humanité.

Le pôle Innov’Alliance a pu assister à cet événement qui a débuté par un mot d’accueil de Frédéric GUILLEUX, Directeur du Technopole qui a introduit Monsieur Fabrice Poussardin, Maire de Meyrargue, Elu Métropolitain.

Cette aventure, est avant tout humaine de par son histoire et ses valeurs. Il était donc important pour l’entreprise que ses partenaires, SAYENS Business Development, le CNRS – Centre national de la recherche scientifique et AFYREN, soient présents pour l’inauguration du son verger.

 

La collaboration entre la SATT Sayens et Cearitis se concrétise par l’acquisition d’une licence exclusive transférée par le CNRS et ses chercheurs Monsieur Yael Grosjean et Madame Martine Berthelot-Grosjean. Cette nouvelle approche conciliant protection de l’environnement et efficacité vise à lutter contre des espèces de ravageurs particulièrement nuisibles pour la filière arboricole, notamment “Drosophila suzukii”.

AFYREN et Cearitis se sont associés pour proposer aux arboriculteurs une solution alternative respectueuse de la biodiversité. La formulation de la solution répulsive développée par Cearitis utilise des acides biosourcés produits par AFYREN qui agissent en synergie pour plus d’impacts. Les produits biosourcés sont fabriqués grâce à une technologie de fermentation innovante, basée sur des micro-organismes naturels.

Le verger Cearitis est un lieu d’expérimentation des solutions de Biocontrôle et d’accompagnement agroécologique. Il sert à concrétiser visuellement cet accompagnement et démontrer que la préservation de la biodiversité est possible. Pour Cearitis, les objectifs à venir seront de matérialiser les résultats sur la “Drosophila Suzukii”, continuer le travail sur l’homologation de sa solution sur la “Bactrocera Oleae”, puis entamer des recherches sur la “Ceratitis Capitata”. Pour cela, l’entreprise vient de clôturer sa première levée de fonds et souhaite agrandir encore l’équipe pour atteindre la vingtaine de personne d’ici la fin d’année.